Une Dernière Chance de Sauver la Planète? [en révision]

Tony Pearce
4 janvier , 2016

Dans le monde entier sont publiés à l’heure actuelle des avertissements relatifs au coût gigantesque pour l’humanité que pourrait représenter le réchauffement planétaire. Les nouvelles annoncées dans les journaux et à la télévision regorgent de sombres prédictions sur l’effondrement de l’économie mondiale, la mort de millions d’individus ou leur perte de leur domicile en résultante de la sécheresse, de la famine et des inondations. Il est dit que Londres, New York et Tokyo ainsi que d’autres villes côtières pourraient être engloutis suite à l’élévation du niveau de la mer. On affirme aussi que tous les poissons maritimes et fruits de mer auront disparu d’ici cinquante ans.

Il existe un certain nombre de théories quant à ces affirmations. Les trois principales sont les suivantes :

Le réchauffement planétaire est une réalité et la cause en est l’activité humaine (combustion des carburants fossiles – charbon, pétrole et gaz – destruction par le feu des forêts pluviales etc.). Par conséquent les gouvernements se doivent de prendre des mesures urgentes pour sauver le monde de la catastrophe.

Le réchauffement planétaire est une réalité mais la cause n’en est pas certaine. Il pourrait résulter de l’activité solaire et participer d’un cycle de réchauffement et de refroidissement de la température de la Terre. En ce cas, il n’y a rien que les gouvernements y puissent changer.

Le réchauffement planétaire est une supercherie utilisée par ceux qui souhaitent la mise en place d’un gouvernement mondial. Ceux-ci s’efforcent d’effrayer les populations pour les soumettre à leur projet.

Examinons ces trois possibilités.
1. Le réchauffement planétaire est une réalité et la cause en est l’activité humaine.

Selon le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat (GIEC) appuyé par l’ONU, les températures pourraient subir une hausse d’entre 1,4 et 5,8° entre 1990 et Une hausse des températures à l’échelle planétaire pourrait à son tour provoquer d’autres transformations, y compris une élévation du niveau de la mer et des modifications de la pluviosité et des cycles pluviaux. Ces modifications seraient susceptibles d’augmenter la fréquence et l’intensité d’épisodes météorologiques extrêmes, tels qu’inondations, vagues de sécheresse, canicules, ouragans et tornades. Les autres conséquences possibles seraient une baisse du rendement de l’agriculture, une fonte glaciaire, la réduction du débit estival des cours d’eau, l’extinction d’un grand nombre d’espèces et un accroissement du nombre d’organismes vecteurs de maladies.

L’American Meteorological Society a publié en 2003 une déclaration émanant de son Conseil énonçant que « les activités humaines sont devenues une source majeure de transformation de l’environnement. Les conséquences climatiques de l’abondance croissante des gaz à effets de serre dans l’atmosphère représentent une urgence majeure. (…) Du fait que les gaz à effets de serre continuent d’augmenter, nous sommes, de fait, en train de nous livrer à une expérience climatique à l’échelle de la planète, ni planifiée ni maîtrisée, et dont les résultats pourraient présenter des défis sans précédent à notre discernement et à notre prévoyance ainsi qu’avoir des répercussions conséquentes sur nos environnements naturels et nos structures sociales. Il s’agit là d’un problème à long terme qui exige que soit adoptée une perspective elle aussi à long terme. Les dirigeants nationaux et internationaux actuels et à venir doivent faire face à des décisions de taille ».

Des rassemblements pour sauver la planète ont eu lieu dans le monde entier, exigeant que les gouvernements agissent contre la menace du réchauffement planétaire. Tony Blair a déclaré que le Rapport Stern sur le réchauffement mondial, financé par le gouvernement britannique, était « le rapport le plus important pour l’avenir jamais publié par [son] gouvernement au cours de son mandat ». Angela Merkel, la chancelière allemande, a dit que s’attaquer au problème du réchauffement climatique allait être une priorité pour la présidence allemande du G8 (pays industrialisés) en 2007. La Ministre des Affaires étrangères britannique, Margaret Beckett, a annoncé devant un auditoire à Delhi que le sous-continent indien pourrait devoir faire face, suite à la hausse des températures planétaires, à une combinaison de sécheresse et d’élévation du niveau des eaux ayant un effet désastreux sur le rendement des récoltes et obligeant des millions d’individus à fuir leur domicile.
2. Le réchauffement planétaire est une réalité mais il pourrait être provoqué par le soleil.

Une minorité de scientifiques affirment que les changements climatiques tels que le réchauffement planétaire pourraient résulter de changements dans l’activité solaire plutôt que du dégagement de gaz à effet de serre dans l’atmosphère terrestre. Le soleil fournit toute l’énergie qui régule notre climat mais il n’est pas l’étoile invariable qu’il semblerait être. Des études attentives menées dans les vingt dernières années démontrent que sa production d’énergie et son éclat globaux augmentent légèrement à mesure que l’activité des taches solaires s’élève jusqu’au sommet de son cycle de 11 ans. Le soleil en est actuellement au sommet de son activité des trois cents dernières années. Ce cycle pourrait être suivi par un refroidissement et une mini période glaciaire.
3. Le réchauffement planétaire est une supercherie.

Il en est qui sont encore plus sceptiques à cet égard. Christopher Monckton a écrit un article dans le journal britannique The Sunday Telegraph (5/11/2006) intitulé « N’y croyez pas ». Il a commencé son article en affirmant que la panique à l’égard du réchauffement planétaire avait moins pour objet de sauver la planète que d’ « instaurer un gouvernement mondial », selon l’expression inquiétante de Jacques Chirac.

Il a donné des preuves de la manière dont les Nations Unies falsifiaient les informations relatives au problème à travers son agence, le GIEC, et rapporté les paroles de David Deming, un géophysicien exerçant à l’Université d’Oklahoma, qui a écrit un article retraçant les températures américaines à partir de résultats de forage. Cet article lui a conféré de la crédibilité auprès du GIEC, qui lui a demandé de participer à ses recherches. Deming a affirmé : « Ils pensaient que j’étais un des leurs, quelqu’un de prêt à pervertir la science pour l’avancement de causes politiques et sociales. L’un d’entre eux a abaissé sa garde. Un personnage éminent œuvrant dans le domaine du changement climatique et du réchauffement planétaire m’a envoyé un courriel abasourdissant disant : « Il faut faire passer l’opt imum climatique médiéval à la trappe ».

L’optimum climatique médiéval est un fait historique amplement attesté par les documents, qui montrent qu’à cette période les températures étaient d’environ 3°C plus élevées qu’à notre époque. Selon Monckton, « il n’y avait pas à cette époque de glaciers dans les Andes : aujourd’hui il y en a. Il existait des fermes vikings au Groënland : aujourd’hui elles sont recouvertes par le permafrost. Il n’y avait pas beaucoup de glace au Pôle Nord : un escadron naval chinois a navigué tout autour de l’Arctique en 1421 et n’en a pas trouvé. (…) Les données recueillies sur 6 000 lieux de forage dans le monde entier démontrent que les températures planétaires étaient plus hautes au Moyen Âge qu’aujourd’hui ».

Suite à cette période, les températures sont redescendues bien en dessous des niveaux actuels. Les dix-septième et dix-huitième siècles ont connu ce qu’on appelle le « Petit Âge glaciaire ». Il existe des tableaux datant de cette période montrant que la Tamise avait gelé si so lidement au niveau du Pont de Londres qu’une fête foraine sur glace avait pu y être installée, avec un chapiteau planté sur la rivière elle-même, et proposant un grand nombre de divertissements, y compris du bowling sur glace. De nos jours, la simple apparition d’une fine couche de glace sur la Tamise à Londres n’est même pas concevable.

Le rapport originel du GIEC commandé en 1996 comportait un graphique retraçant l’évolution des températures pour les 1 000 dernières années, lequel montrait adéquatement que la température au Moyen Âge était plus élevée qu’aujourd’hui. Mais le rapport publié en 2001 comportait un nouveau graphique n’indiquant pas de période de chaleur au Moyen Âge et faisant état d’une température uniforme jusqu’au début de l’essor de l’ère industrielle. La conclusion tirée de ce graphique erroné était que le vingtième siècle avait été le siècle le plus chaud depuis 1 000 ans. Cette information démontre que l’Histoire est délibérément falsifiée par une agence des Nations Unies.
Le réchauffement climatique et le gouvernement mondial.

Il est également possible qu’il y ait un élément de vérité dans les trois hypothèses. Le réchauffement planétaire est peut-être causé en partie par l’activité humaine et en partie par le soleil. Il est certain qu’il est utilisé pour promouvoir l’idée qu’un gouvernement mondial dirigé par les Nations Unies est la solution à ce problème. Qu’il soit une réalité ou non, il s’agit d’un problème idéal pour conduire les nations à s’unir. On peut arguer du fait qu’aucun gouvernement ne peut résoudre le problème à lui seul, que si le problème n’est pas résolu, nous sommes tous morts et qu’il faut donc que les nations s’unissent en vue d’y trouver une solution. Cet argument peut aussi servir d’excuse aux gouvernements pour augmenter la taxation et renforcer la surveillance des populations, en particulier sur l’aptitude à voyager.

Dans son article, Christopher Monckton a fait référence à des déclarations de Jacques Chirac établissant un lien entre la question de l’environnement et un projet de gouvernement mondial. Chirac a écrit un article pour le magazine « New Scientist » (19/05/05) à propos de la nécessité de faire campagne pour l’environnement et dans lequel il a écrit : « Cet effort se concentrerait sur la nécessité de renforcer le gouvernement mondial de l’environnement, qui fait l’objet d’une campagne incessante de la part de la France, notamment au travers de sa proposition de créer une Organisation de l’Environnement au sein des Nations Unies, proposition qui sera débattue par les chefs de gouvernement au sommet de l’ONU à New York en septembre ». Dans un discours plus ancien prononcé lors de la Convention-Cadre des Nations Unies sur les Changements climatiques à La Haye le 20/11/2000, il a dit : « Pour la première fois, l’humanité est en train d’établir un véritable outil de gouvernement mondial, qui devrait trouver sa place au sein de l’Organisation mondiale de l’Environnement que la France et l’Union européenne voudraient voir instaurer » (c’est moi qui souligne).

Il est intéressant de noter que Nicolas Hulot et le Comité de Veille Ecologique de la Fondation pour la Nature et l’Homme ont réuni le 31 janvier 2007 10 candidats à lélection présidentielle pour signer publiquement leur engagement en faveur du Pacte écologique de la Fondation Nicolas Hulot et qu’il existe aussi un consensus en faveur d’un programme écologique mondial entre les trois principaux partis du Royaume-Uni, lequel consensus est partagé par les puissances dominant l’Union européenne. Avec la montée des Démocrates aux Etats-Unis, il est probable que les questions d’environnement deviennent plus importantes que la « Guerre contre la Terreur ». Si la Russie, la Chine, le Japon et l’Inde peuvent être persuadés de se joindre aux Etats-Unis pour exercer une pression parallèle en vue d’imposer une solution planétaire au problème du changement climatique, le reste du monde pourrait bien être incapable d’y résister.
L’environnement – un problème spirituel

Il est aussi intéressant de noter qu’il exige une idée semi-religieuse en rapport avec tout ceci – la très controversée « théorie Gaïa », nommée d’après la déesse-Terre de la Grèce antique. Cette théorie a été développée dans les années 1960 par le scientifique britannique James Lovelock tandis qu’il travaillait sur le projet Viking explorant la possibilité d’une vie sur Mars. Alors qu’il étudiait les conditions rendant possible le maintien de la vie sur Terre et observait l’atmosphère de notre planète, avec son fragile équilibre d’oxygène, d’hydrogène, d’azote, de méthane et de traces d’autres éléments, il a élaboré l’idée que la Terre était un tout vivant et interdépendant, capable de s’autoréguler pour éliminer les traumatismes à la manière dont un corps guérit de sa maladie ou de ses blessures.

Selon cette théorie, la Terre est un immense système vivant en perpétuelle interaction – une planète vivante, flottant dans l’espace, chacune des parties de son grand moteur affectant toutes les autres, en bien ou en mal. La Terre a certains organes d’importance primordiale, tels que les forêts pluviales et les zones humides, lesquels sont plus vitaux pour l’environnement planétaire que d’autres éléments du système. Pour prendre la comparaison avec le corps humain, il est possible d’en perdre une petite partie comme un gros orteil et de survivre, mais si l’on en perd une partie majeure comme les poumons, l’on meurt. Ainsi la Terre est-elle susceptible de perdre quelques espèces animales suite à la négligence de l’environnement par l’homme et néanmoins survivre mais, si un organe vital est menacé, il lui faut lutter contre l’interférence humaine ou mourir.

Dans certaines ramifications du mouvement pour l’environnement, l’on avance l’idée que les catastrophes qui s’abattent sur la Terre sont le résultat d’un signal envoyé par Gaïa à l’humanité pour qu’elle cesse de détruire la seule planète sur laquelle elle peut vivre. En d’autres termes, Gaïa est susceptible de passer à l’action afin de sanctionner l’humanité pour la pollution qu’elle engendre. Selon cette théorie, les catastrophes naturelles sont pour la Terre le moyen de lutter contre sa dégradation par l’homme, ce qui nous amène à l’idée « Nouvel Âge » que nous devons nous réunir avec la planète et les uns aux autres afin de sauver la Terre.

La Bible enseigne un concept différent, selon lequel le Dieu personnel qui a créé la Terre et donné à l’humanité la tâche d’en prendre soin nous parle à travers ces événements, qu’il avait en réalité prédits par le truchement des prophètes et du Seigneur Jésus-Christ il y a des siècles. Il est vrai que la Terre est un tout interdépendant qui, suite à sa création par Dieu était « très bon ». Tout ce qui est nécessaire pour la vie y est maintenu en un équilibre délicat sur la seule planète sur laquelle nous puissions vivre. La distance entre la Terre et le soleil, l’atmosphère, le cycle hydrologique, la terre arable permettant l’agriculture, tout est parfaitement arrangé pour que la vie soit préservée. L’idée évolutionniste que tout s’est produit suite à un accident cosmique est aussi absurde que la possibilité que l’ordinateur sur lequel j’écris cet article se mette à exister suite à une combinaison aléatoire d’atomes dans un ordre satisfaisant pour l’apparition de cette machine. Une conception exige qu’il y ait un concepteur et la création exige qu’il y ait un Créateur. Il existe des preuves abondantes, pour ceux qui désirent les rechercher, que c’est Dieu en tant que Créateur et non pas une évolution aléatoire qui a la réponse à la question de savoir comment il se fait que nous existons.

Selon le récit biblique de la Genèse, l’humanité devait « dominer » la Terre, c’est -à-dire non la saccager, mais s’occuper d’elle et de ses créatures (Gen. 1 :26-28, Ps. 8) en harmonie avec Dieu le Créateur. Mais la désobéissance de l’homme envers Dieu a causé la dégradation de la Terre premièrement par la Chute (Gen. 3) puis par le Déluge (Gen. 6-8), ce qui a eu pour conséquence de corrompre la Création, originellement « très bonne ».

Lorsque nous jetons un coup d’œil à l’autre extrémité du calendrier biblique et que nous considérons les événements survenus à la fin de notre ère, il est clair que les désastres affectant la Terre vont aller croissant. Jésus a dit concernant les jours précédant son retour : « Il y aura de grands tremblements de terre, et, en divers lieux, des pestes et des famines ; il y aura des phénomènes terribles, et de grands signes dans le ciel. (…) Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de langoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, les hommes rendant lâme de terreur dans lattente de ce qui surviendra pour la Terre ; car les puissances des cieux seront ébranlées. » (Luc 21:11 ; 25-26).

Les tempêtes tropicales qui déchirent les mers et dévastent les régions côtières sont de plus en plus féroces, un fait que beaucoup de scientifiques estiment lié au changement climatique causé par le réchauffement planétaire. En Esaïe 24 se trouve un passage apocalyptique ayant trait à une destruction par des événements catastrophiques survenant à la fin de notre ère, des villes étant dévastées et leurs habitants éparpillés : « Le pays était profané [pollué] par ses habitants; Car ils transgressaient les lois, violaient les ordonnances, Ils rompaient lalliance éternelle » (Esaïe 24:5). Il est intéressant de noter qu’Esaïe 24:16 fait également référence à des personnages « perfides » agissant « perfidement » (version Darby), ce qui établit un lien entre le problème de l’environnement et ceux qui l’utilisent à des fins perfides (à savoir pour hâter l’avènement du gouvernement mondial de l’antéchrist).

Les prophéties contenues dans la Bible nous avertissent d’une période de détresse à venir au cours de laquelle il y aura de grandes chaleurs, une végétation consumée, des eaux imbuvables ainsi que de violentes tempêtes et des désastres naturels provoquant la famine, la maladie et la mort. « Le premier [ange] sonna de la trompette. Et il y eut de la grêle et du feu mêlés de sang, qui furent jetés sur la Terre ; et le tiers de la Terre fut brûlé, et le tiers des arbres fut brûlé, et toute herbe verte fut brûlée. (…) Le troisième ange sonna de la trompette. Et il tomba du ciel une grande étoile ardente comme un flambeau ; et elle tomba sur le tiers des fleuves et sur les sources des eaux. Le nom de cette étoile est Absinthe ; et le tiers des eaux fut changé en absinthe, et beaucoup dhommes moururent par les eaux, parce quelles étaient devenues amères » (Apocalypse 8:7-11). Apocalypse 16 parle d’un temps où les hommes seront « brûlés par une grande chaleur », où l’Euphrate sera asséché et où aura lieu « un grand tremblement de terre, (…) si grand, quil ny en a jamais eu de semblable depuis que les hommes sont sur la terre » (Apocalypse 16:8, 12, 18).

Quelle que soit la réalité du réchauffement planétaire, il s’agit d’un problème à même de pousser le monde dans la direction du gouvernement mondial prophétisé par Apocalypse 13. La personne proposant une solution à ce problème pourrait bien être saluée comme un Sauveur offrant « paix et sécurité » et adorée par le monde comme un nouveau Messie.

Loin de résoudre les problèmes, le gouvernement mondial de la fin des temps amènera le monde au bord du gouffre. Seul le retour du Seigneur Jésus Christ sauvera le monde. A Son retour la Terre sera miraculeusement rétablie et redeviendra un endroit fertile et merveilleux à même de subvenir au besoin de l’humanité durant le règne millénaire de Jésus, au cours duquel « la terre sera remplie de la connaissance de lEternel, comme le fond de la mer par les eaux qui le couvrent » (Esaïe 11:9).


Tony Pearce

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